[Page de la commission Bartolone-Winock sur le site de l’Assemblée nationale]
Le groupe de travail sur l’avenir des institutions, présidé par Claude Bartolone et Michel Winock, a été réuni à l’initiative de ce premier de novembre 2014 à septembre 2015. Le rapport produit par cette commission peut vous intéresser à plus d’un titre.
Même s’il s’agit d’un très long document (essentiellement du fait des annexes et verbatim des auditions effectuées à l’Assemblée nationale), on y trouve en effet plusieurs pistes de réflexion sur l’« insuffisance démocratique » dont souffrirait la Ve République et les solutions à y apporter.
Le rapport est disponible gratuitement à cette adresse.
Les interventions et propositions des universitaires (juristes, philosophes…) qui ont été interrogés par la commission pourraient permettre de bien cerner les notions en jeu et de « cadrer » le débat sur notre sujet (malheureusement, les enregistrements vidéos de ces auditions ne sont plus disponibles en ligne).
La synthèse des propositions des membres de la commission se trouve à la page 133 du rapport
Ce travail a aussi donné lieu à une consultation citoyenne en ligne, dont voici la synthèse.
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ah c’est 963 pages de bonheur pour @Sylvain ça
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J’ai ajouté au post d’origine la synthèse des réponses à la consultation citoyenne organisée par la commission.
Vous me connaissez si bien 
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Merci beaucoup @allumelalumiere 
Effectivement, nous avons déjà commencé à explorer ces 963 pages et nous allons le lire intégralement. Une telle démarche de réflexion critique sur nos institution et un tel document en accès libre est belle preuve que le travail de nos élus est aussi parfois précieux 
Merci pour ce document. En tant que suisse j’ai lu quelques parties qui en parle et ça semble d’un bon niveau. Un passage en particulier résume bien ma perception: page 363 qui cite M. Denis Giraux:
« En Suisse, les citoyens sont au cœur du système. On ne peut rien faire sans eux : ils sont le souverain. »
La suite est en parfaite adéquation avec le sujet de #Datagueule:
« Ce n’est, semble-t-il, pas le cas en France, et c’est sans doute une des raisons pour lesquelles ce groupe de travail, dans un sursaut de lucidité, se penche sur l’avenir des institutions. »
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Très bon rapport que je suis en train de lire.
Avec de bons arguments et des points de vues intéressants.