Le top de l'actualité politique entre la Suisse et l'UE depuis des années est directement lié à l'adoption en votation populaire de l'initiative "Contre l'immigration de masse" le 9 février 2014. Les conséquences de cette votation ont été annoncées par les parties opposées comment touchant potentiellement l'équilibre de nombreux flux économiques entre la Suisse et l'UE. Les lois d'applications n'étant pour l'heure pas terminées, les conséquences finales ne sont pas encore mesurables. Toutefois l'UE n'a pas attendu les lois d'applications pour immédiatement mettre en oeuvre des sanctions contre le peuple Suisse souverain en suspendant unilatéralement la participation Suisse aux programmes «Horizon 2020» et «Erasmus». Ces sanctions sont toujours en place depuis 4 années, alors qu'aucune lois n'est encore en application, et a des conséquences pour plusieurs projets européens.
Comme pour les britanniques, l'UE refuse catégoriquement d'entrer en matière pour réformer un tant soit peut les règles de Schengen (alors que plusieurs gouvernements de pays membre de l'UE le promette à leur propre peuple), et menace d'interdire l'accès au "marché unique" (alors qu'il est plus ouvert que jamais pour la Chine). L'incapacité de l'EU à négocier de façon constructive la mènera à sa perte.